Le soleil brûle de sa brûlure magnifique
Dans sa robe poussière d’eau
Sa couleur anormale de smog
Qui, plutôt que l’inverse, l’embrase perverse
Le soleil brûle de sa brûlure magnifique
Dans sa couleur anormale de smog
Qui le force à se réinventer –
D'un orange apocalypse
Voilà un soleil… le mien, le vôtre…
Qui pue la passion
Dans un ciel trop défunt
Pour ne pas être gris
Dans un brouillard un doigt, enfin, un peu mauve
Le soleil dans sa robe industrielle !
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