Cette réflexion, je l'ai souvent en moi-même, c'est une réflexion imagée, une suite d'images pénétrée de froidure revigorante... Quoi, ça ?
Je lui ai donc dit :
Pourquoi la symbolique, par rapport à lui ? Le lien que je fais, c'est que j'ai appris à aimer l'hiver, car ma vie a été hiver, depuis l'âge de trente ans. Je m'y suis fait un nid, je l'ai dompté, je l'ai aimé, l'hiver. L'hiver, c'est aussi l'école : ça commence en septembre, et le temps froid arrive vite ; puis la session d'hiver, elle, est ensevelie sous la neige. Quand notre vie est cadencée par l'école, c'est la saison des neiges tout le temps.
Tu sèmes de la poésie même dans ce froid naissant! Merci! Je songerai à la beauté de l'hiver, surtout lorsque je cherche l'énergie mentale pour traverser la ville en poussette!
RépondreSupprimerÇa m'amuse que l'hiver recèle le potentiel d'une muse. La poussette ! Je t'imagine bien, là...
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