Ça peut arriver à n'importe qui de glisser sur une boulette de viande en sortant de Da Giovanni. Ricky est mal tombé, en plein su'l coco à ras le trottoir rue Sainte-Catherine, pis un taxi répondant à un appel lui a un peu reculé sur la tronche. L'affaire qui ressemble à une trace de tire dans sa face, ben c'est une trace de tire.
C'est voulu, exceptionnellement, pour cause de fraîche rupture. Je sentais le besoin d'en parler un brin, sans que ça vire en psychothérapie publique, héhé.
À peu près temps. Y devrait pas y avoir place à aucuns commentaires ici, à commencer par les miens. Je commenterais chez nous, au pire. Les seuls commentaires qui comptent sur ton ouvrage de défrichage, c'est les tiens, cibole. L'internet est crissement dangereux pour un écrivain en chantier. Moi, je suis loin d'être certain que j'y aurais résisté, s'il avait existé dans mes terribles années 80.
T'as rompu, comme ça? On savait même pas que t'avais une liaison. Janette veut savoir.
Oui, un amour ayant duré quelques mois — ô combien intense cependant. Ma «date» de la St-Jean, qui avait évolué rapidement en une intense, absorbante communion.
En ce qui concerne la littérature, ici, c'est mon collisionneur où s'entrechoquent des particules d'idées, mon espace underground. Les commentaires, je les accepte, j'en prends j'en laisse. Je réalise que je fais preuve de beaucoup d'opiniâtreté! Du reste j'ai des projets littéraires très avancés dont je ne parle pas ici. La surprise est toujours un merveilleux cadeau à offrir.
Ça peut arriver à n'importe qui de glisser sur une boulette de viande en sortant de Da Giovanni. Ricky est mal tombé, en plein su'l coco à ras le trottoir rue Sainte-Catherine, pis un taxi répondant à un appel lui a un peu reculé sur la tronche. L'affaire qui ressemble à une trace de tire dans sa face, ben c'est une trace de tire.
RépondreSupprimerCompatissons!
on ne peut laisser de com sur ton dernier billet Guillaume ?
RépondreSupprimerC'est voulu, exceptionnellement, pour cause de fraîche rupture. Je sentais le besoin d'en parler un brin, sans que ça vire en psychothérapie publique, héhé.
RépondreSupprimerÀ peu près temps. Y devrait pas y avoir place à aucuns commentaires ici, à commencer par les miens. Je commenterais chez nous, au pire. Les seuls commentaires qui comptent sur ton ouvrage de défrichage, c'est les tiens, cibole. L'internet est crissement dangereux pour un écrivain en chantier. Moi, je suis loin d'être certain que j'y aurais résisté, s'il avait existé dans mes terribles années 80.
RépondreSupprimerT'as rompu, comme ça? On savait même pas que t'avais une liaison. Janette veut savoir.
Oui, un amour ayant duré quelques mois — ô combien intense cependant. Ma «date» de la St-Jean, qui avait évolué rapidement en une intense, absorbante communion.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne la littérature, ici, c'est mon collisionneur où s'entrechoquent des particules d'idées, mon espace underground. Les commentaires, je les accepte, j'en prends j'en laisse. Je réalise que je fais preuve de beaucoup d'opiniâtreté! Du reste j'ai des projets littéraires très avancés dont je ne parle pas ici. La surprise est toujours un merveilleux cadeau à offrir.